Cette histoire que je désire partager avec vous en est une qui porte sur la tendre miséricorde de Dieu. Je l'ai trouvé sur Facebook, partagée par une amie. Je vous dis bonne réflexion et je vous reviendrai pour en donner un sens spirituel, un peu plus tard.
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C’est une histoire vraie :
Jean, 20 ans, avait fait une saloperie immonde à ses parents. Vous savez... la saloperie dont une famille ne se remet pas, en général.
Alors son père lui dit: “Jean, fous le camp ! Ne remets plus jamais les pieds dans cette maison !“ Jean est parti, la mort dans l’âme.
Et puis, quelques semaines plus tard, il se dit: “J’ai été la pire des ordures ! Je vais demander pardon à mon vieux... Oh oui ! Je vais lui dire: pardon.”
Alors, il écrit à son père : “ Papa, je te demande pardon. J’ai été le pire des pourris et des salauds. Mais je t’en prie, Papa, peux-tu me pardonner?”
“Je ne te mets pas mon adresse sur l’enveloppe, non... Mais simplement, si tu me pardonnes, je t’en prie, mets un foulard blanc sur le pommier qui est devant la maison. Tu sais, la longue allée de pommiers qui conduit à la maison. Sur le dernier pommier, Papa, mets un foulard blanc si tu me pardonnes.”
“Alors je saurai, oui je saurai que je peux revenir à la maison.”
Comme il était mort de peur, il se dit: “Je pense que jamais Papa ne mettra ce foulard blanc. Alors, il appelle son ami, son frère, Marc et dit: “Je t’en supplie, Marc, viens avec moi. Voilà ce qu’on va faire : je vais conduire jusqu’à 500 mètres de la maison et je te passerai le volant. Je fermerai les yeux. Lentement, tu descendras l’allée bordée de pommiers. Tu t’arrêteras. Si tu vois le foulard blanc sur le dernier pommier devant la maison, alors je bondirai. Sinon, je garderai les yeux fermés et tu repartiras. Je ne reviendrai plus jamais à la maison.”
Ainsi dit, ainsi fait. A 500 mètres de la maison, Jean passe le volant à Marc et ferme les yeux. Lentement, Marc descend l’allée des pommiers. Puis il s’arrête. Et Jean, toujours les yeux fermés, dit: “Marc, mon ami, mon frère, je t’en supplie, est-ce que mon père a mis un foulard blanc dans le pommier devant la maison ?“ Marc lui répond: “Non, il n’y a pas un foulard blanc sur le pommier devant la maison... mais il y en a des centaines sur tous les pommiers qui conduisent à la maison!”
Puissiez-vous, Frères et Soeurs, vous qui avez entendu cette belle histoire du foulard blanc, emporter dans votre coeur des milliers de foulards blancs.
Ils seront autant de miracles que vous sèmerez partout, en demandant pardon à ceux que vous avez offensés ou en pardonnant vous-mêmes.
Alors vous serez des êtres de miséricorde"
Que Dieu vous bénisse, mes amis!
Bienvenue à toutes et à tous!
Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi?
Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi, fils de la terre?
Qui donc est Dieu, si démuni, si grand, si vulnérable?
Qui donc est Dieu pour se lier d'amour à part égale?
Qui donc est Dieu, s'il faut pour le trouver un coeur de pauvre?
Qui donc est Dieu, s'il vient à nos côtés prendre nos routes?
Qui donc est Dieu qui vient sans perdre coeur à notre table?
Qui donc est Dieu que nul ne peut aimer s'il n'aime l'homme?
Qui donc est Dieu qu'on peut si fort blesser en blessant l'homme?
(LITURGIE DES HEURES, Hymne, Samedi I au Matin)
Qui donc est Dieu pour nous aimer ainsi, fils de la terre?
Qui donc est Dieu, si démuni, si grand, si vulnérable?
Qui donc est Dieu pour se lier d'amour à part égale?
Qui donc est Dieu, s'il faut pour le trouver un coeur de pauvre?
Qui donc est Dieu, s'il vient à nos côtés prendre nos routes?
Qui donc est Dieu qui vient sans perdre coeur à notre table?
Qui donc est Dieu que nul ne peut aimer s'il n'aime l'homme?
Qui donc est Dieu qu'on peut si fort blesser en blessant l'homme?
(LITURGIE DES HEURES, Hymne, Samedi I au Matin)
Dieu nous aime; il n'attend que ton retour...
vendredi 30 mars 2012
mardi 27 mars 2012
Qu'est-ce qu'un chrétien?
"Les chrétiens dans le monde" est une magnifique lettre adressé à Diognète qui donne une bonne description de ce qu'est un chrétien. Je transcris ici un passage qui me semble le plus beau et le plus grand à retenir parce qu'il y a là un brin de réflexion à donner pour les non-croyants extrémistes. Voici:
Les chrétiens ne se distinguent des autres hommes ni par le pays, ni pas le langage, ni par les coutumes. Car ils n'habitent pas de villes qui leur soient propres, ils n'emploient pas quelque dialecte extraordinaire, leur genre de vie n'a rien de singulier...
Ils aiment tout le monde, et tout le monde les persécute. On ne les connaît pas, mais on les condamne; on les tue et c'est ainsi qu'ils trouvent la vie. Ils sont pauvres et font beaucoup de riches. Ils manquent de tout et ils ont tout en abondance. On les méprise et, dans ce mépris, ils trouvent leur gloire. On les calomnie, et ils y trouvent leur justification. On les insulte, et ils bénissent. On les outrage, et ils honorent. Alors qu'ils font le bien, on les punit comme des malfaiteurs. Tandis qu'on les châtie, ils se réjouissent comme s'ils naissaient à la vie. Les Juifs leur font la guerre comme à des étrangers et les Grecs les persécutent; ceux qui les détestent ne peuvent pas dire la cause de leur hostilité.
En un mot, ce que l'âme est dans le corps, les chrétiens le sont dans le monde.
Bonne réflexion!
J.S.
Les chrétiens ne se distinguent des autres hommes ni par le pays, ni pas le langage, ni par les coutumes. Car ils n'habitent pas de villes qui leur soient propres, ils n'emploient pas quelque dialecte extraordinaire, leur genre de vie n'a rien de singulier...
Ils aiment tout le monde, et tout le monde les persécute. On ne les connaît pas, mais on les condamne; on les tue et c'est ainsi qu'ils trouvent la vie. Ils sont pauvres et font beaucoup de riches. Ils manquent de tout et ils ont tout en abondance. On les méprise et, dans ce mépris, ils trouvent leur gloire. On les calomnie, et ils y trouvent leur justification. On les insulte, et ils bénissent. On les outrage, et ils honorent. Alors qu'ils font le bien, on les punit comme des malfaiteurs. Tandis qu'on les châtie, ils se réjouissent comme s'ils naissaient à la vie. Les Juifs leur font la guerre comme à des étrangers et les Grecs les persécutent; ceux qui les détestent ne peuvent pas dire la cause de leur hostilité.
En un mot, ce que l'âme est dans le corps, les chrétiens le sont dans le monde.
Bonne réflexion!
J.S.
La croix est dressée; il ne reste plus qu'à y monter...
jeudi 22 mars 2012
Lancement de la nouvelle année d'évangélisation du blog
Voilà maintenant deux ans que ce blog existe. C'est un projet d'évangélisation qui prend de l'envergure avec près de 15000 visites, environ 250 par mois, selon les statistiques. Je vous remercie de me suivre dans ce projet qui me tient à coeur.
Mon but sur ce blog est de vous faire connaître un visage différent du Christ qui a pris sur lui nos souffrances pour nous soulager par amour de l'humanité. Ce n'est pas contraire à ce que l'Église catholique enseigne. Et pourtant, encore beaucoup de gens l'ignorent. L'engagement que le Christ nous propose est rempli d'une richesse incroyable, tant par la liberté qu'il nous laisse que par l'amour qu'il y dégage. Aimer son prochain n'est pas chose facile, mais nous pouvons y arriver, avec un peu de coeur.
L'an dernier, le thème de l'année "évangélisatrice" était :"Ensemble, bâtissons notre avenir!" Comme je le disais dans le texte d'introduction l'an dernier, seul je ne peux rien faire. Mais ensemble, nous pouvons arriver à propager notre foi si brûlante d'amour de notre Dieu. C'est pourquoi le thème de cette année est:"Ensemble, témoignons de notre foi!"
Je relance encore la perche pour savoir s'il y a des volontaires bénévoles qui seraient intéressé(e)s et pour partager des points forts de leur foi avec le monde entier. Dans les statistiques du blog, il est indiqué que le blog est également lu dans plusieurs pays du monde! C'est incroyable! Je ne pensais pas avoir une portée si grande!
Enfin bref, je vous remercie du support que vous m'apportez, soit par vos commentaires ou en répondant aux mini-sondages qui se trouvent à la suite de chaque article. D'ailleurs, vous remarquerez que tout en bas de la page, il y a un sondage d'appréciation très général. Je vous invite à le remplir d'ici le 30 avril 2012.
Également, vous avez remarqué que le décor a changé. Le thème de la lumière est très récurent dans les Évangiles et j'ai voulu m'en servir dans le but de vous faire comprendre le rayonnement que nous avons dans notre monde en vivant notre foi et en la mettant en pratique. J'ai voulu aussi faire du blog un endroit où le recueillement est possible, d'où les écritures un peu plus fine et de couleur pâle.
Si vous avez des commentaires, des questions ou des suggestions, je vous invite à me les faire parvenir par courriel au jonathansonier@hotmail.com et je tenterai de vous répondre le plus tôt possible.
Encore merci, et au plaisir de faire route avec vous dans la foi encore cette année!
Jonathan Sonier
concepteur
quidoncestdieu.blogspot.com
Mon but sur ce blog est de vous faire connaître un visage différent du Christ qui a pris sur lui nos souffrances pour nous soulager par amour de l'humanité. Ce n'est pas contraire à ce que l'Église catholique enseigne. Et pourtant, encore beaucoup de gens l'ignorent. L'engagement que le Christ nous propose est rempli d'une richesse incroyable, tant par la liberté qu'il nous laisse que par l'amour qu'il y dégage. Aimer son prochain n'est pas chose facile, mais nous pouvons y arriver, avec un peu de coeur.
L'an dernier, le thème de l'année "évangélisatrice" était :"Ensemble, bâtissons notre avenir!" Comme je le disais dans le texte d'introduction l'an dernier, seul je ne peux rien faire. Mais ensemble, nous pouvons arriver à propager notre foi si brûlante d'amour de notre Dieu. C'est pourquoi le thème de cette année est:"Ensemble, témoignons de notre foi!"
Je relance encore la perche pour savoir s'il y a des volontaires bénévoles qui seraient intéressé(e)s et pour partager des points forts de leur foi avec le monde entier. Dans les statistiques du blog, il est indiqué que le blog est également lu dans plusieurs pays du monde! C'est incroyable! Je ne pensais pas avoir une portée si grande!
Enfin bref, je vous remercie du support que vous m'apportez, soit par vos commentaires ou en répondant aux mini-sondages qui se trouvent à la suite de chaque article. D'ailleurs, vous remarquerez que tout en bas de la page, il y a un sondage d'appréciation très général. Je vous invite à le remplir d'ici le 30 avril 2012.
Également, vous avez remarqué que le décor a changé. Le thème de la lumière est très récurent dans les Évangiles et j'ai voulu m'en servir dans le but de vous faire comprendre le rayonnement que nous avons dans notre monde en vivant notre foi et en la mettant en pratique. J'ai voulu aussi faire du blog un endroit où le recueillement est possible, d'où les écritures un peu plus fine et de couleur pâle.
Si vous avez des commentaires, des questions ou des suggestions, je vous invite à me les faire parvenir par courriel au jonathansonier@hotmail.com et je tenterai de vous répondre le plus tôt possible.
Encore merci, et au plaisir de faire route avec vous dans la foi encore cette année!
Jonathan Sonier
concepteur
quidoncestdieu.blogspot.com
Ô Sainte Lumière, viens éclairer ma vie pour qu'à mon tour j'éclaire le monde!
Nouvelle nomination à Montréal qui fait jaser
Mes très chers frères et mes très chères soeurs en Jésus Christ,
Je suis heureux de vous annoncer la nomination de Mgr Christian Lépine comme nouvel archevêque de l'Archidiocèse métropolitain de Montréal.
Or, ce que j'ai entendu sur les ondes de Radio-Canada m'attriste énormément, car j'ai l'impression que notre société des communications nationale ne comprend pas, du moins comprend mal, notre Église. Tout d'abord, l'avortement, l'euthanasie et l'homosexualité, oui, sont des dogmes de la doctrine de l'Église catholique. Mais ces sujets font aussi office de principes de foi. On peut y adhérer ou non. Le problème, c'est qu'il y en a qui le font de façon radicale. Or, je n'ai pas l'impression, pourtant, que Mgr Lépine le fait de cette façon, contrairement à ce que Radio-Canada et son reporter souligne avec ardeur et empressement.
Aussi, ce que M. Crevier a déclaré sur le rôle de Mgr Ouellet à Rome est tout à fait erroné. Oui, il est à la tête de la Congrégation pour la nomination des évêques. Toutefois, ce n'est pas de son propre gré qu'un évêque soit nommé à un endroit. Il y a tout un processus de consultations et un "comité", si on peut dire, qui se penche sur la question. Et puis, c'est le pape qui a le dernier mot, en choisissant ou non parmi une sélection de trois candidats faite par la Congrégation qui la lui soumet. C'est tout à fait le contraire de ce que M. Crevier avance. C'est sûr que Mgr Ouellet a un certain poids, mais il n'est pas responsable de la nomination. Je ne cherche pas à prendre en pitié M. le cardinal, mais plutôt à mettre les pendules à l'heure juste!
Enfin bref, je crois fermement que le problème de nos baptisés qui ont tourné le dos à notre Église l'ont probablement fait en comprenant mal le discours de l'Église, soit parce qu'il a été mal formulé ou tout simplement parce qu'ils ont décidé de s'arrêter à un mot en particulier du discours, alors qu'il faut le prendre en son ensemble.
Tout cela pour dire que même une société nationale et fédérale (de surcroît!) peut comprendre de travers ce qui se passe en Église et que je trouve cela dommage. En tant que futur prêtre, je me suis senti interpelé en regardant ce reportage au bulletin de nouvelles de 22hrs, mercredi soir. J'ai surtout l'impression que Radio-Canada cherche à démollir l'image de notre belle Église qui, même si on a l'impression qu'elle agonise, est encore bien vivante et qui propose un chemin de vie extraordinaire que j'ai opté de vivre. Bien sûr, c'est un appel à grandir dans la foi et à avancer dans la sainteté. On ne peut pas être parfait! Je ne le suis pas pourtant, mais ce genre de commentaires remplis de faussetés et de mauvaises interprétations me remplit d'amertume envers ces personnes qui les font. Souvent, elles me donnent l'image d'être remplies de mauvaises intentions envers notre Église, et c'est cela que je proteste. Le mensonge est un péché, et celui qui le fait dans le but de nuir en est marqué profondément.
Soyons fort, mes frères et soeurs! Il y aura toujours des loups qui tenteront de nous faire tomber. Restons debout et luttons contre les injustices et les mauvaises interprétations dont est victime notre Église et ceux qui la dirigent. N'ayons pas peur de brandir notre foi et de faire taire les fausses rumeurs!
Le Christ nous propose un enseignement nouveau. Saurons-nous l'interpréter de la bonne façon?
J.S.
Je suis heureux de vous annoncer la nomination de Mgr Christian Lépine comme nouvel archevêque de l'Archidiocèse métropolitain de Montréal.
Or, ce que j'ai entendu sur les ondes de Radio-Canada m'attriste énormément, car j'ai l'impression que notre société des communications nationale ne comprend pas, du moins comprend mal, notre Église. Tout d'abord, l'avortement, l'euthanasie et l'homosexualité, oui, sont des dogmes de la doctrine de l'Église catholique. Mais ces sujets font aussi office de principes de foi. On peut y adhérer ou non. Le problème, c'est qu'il y en a qui le font de façon radicale. Or, je n'ai pas l'impression, pourtant, que Mgr Lépine le fait de cette façon, contrairement à ce que Radio-Canada et son reporter souligne avec ardeur et empressement.
Aussi, ce que M. Crevier a déclaré sur le rôle de Mgr Ouellet à Rome est tout à fait erroné. Oui, il est à la tête de la Congrégation pour la nomination des évêques. Toutefois, ce n'est pas de son propre gré qu'un évêque soit nommé à un endroit. Il y a tout un processus de consultations et un "comité", si on peut dire, qui se penche sur la question. Et puis, c'est le pape qui a le dernier mot, en choisissant ou non parmi une sélection de trois candidats faite par la Congrégation qui la lui soumet. C'est tout à fait le contraire de ce que M. Crevier avance. C'est sûr que Mgr Ouellet a un certain poids, mais il n'est pas responsable de la nomination. Je ne cherche pas à prendre en pitié M. le cardinal, mais plutôt à mettre les pendules à l'heure juste!
Enfin bref, je crois fermement que le problème de nos baptisés qui ont tourné le dos à notre Église l'ont probablement fait en comprenant mal le discours de l'Église, soit parce qu'il a été mal formulé ou tout simplement parce qu'ils ont décidé de s'arrêter à un mot en particulier du discours, alors qu'il faut le prendre en son ensemble.
Tout cela pour dire que même une société nationale et fédérale (de surcroît!) peut comprendre de travers ce qui se passe en Église et que je trouve cela dommage. En tant que futur prêtre, je me suis senti interpelé en regardant ce reportage au bulletin de nouvelles de 22hrs, mercredi soir. J'ai surtout l'impression que Radio-Canada cherche à démollir l'image de notre belle Église qui, même si on a l'impression qu'elle agonise, est encore bien vivante et qui propose un chemin de vie extraordinaire que j'ai opté de vivre. Bien sûr, c'est un appel à grandir dans la foi et à avancer dans la sainteté. On ne peut pas être parfait! Je ne le suis pas pourtant, mais ce genre de commentaires remplis de faussetés et de mauvaises interprétations me remplit d'amertume envers ces personnes qui les font. Souvent, elles me donnent l'image d'être remplies de mauvaises intentions envers notre Église, et c'est cela que je proteste. Le mensonge est un péché, et celui qui le fait dans le but de nuir en est marqué profondément.
Soyons fort, mes frères et soeurs! Il y aura toujours des loups qui tenteront de nous faire tomber. Restons debout et luttons contre les injustices et les mauvaises interprétations dont est victime notre Église et ceux qui la dirigent. N'ayons pas peur de brandir notre foi et de faire taire les fausses rumeurs!
Le Christ nous propose un enseignement nouveau. Saurons-nous l'interpréter de la bonne façon?
J.S.
lundi 19 mars 2012
Rectification : Saint Patrick, patron des Irlandais
J'ai modifié l'article traitant de saint Patrick pour la ville de Miramichi. Mon information était mauvaise consernant la bailique qui s'y trouve. Ce n'est pas la Basilique St. Patrick, mais plutôt St. Micheal, the Archangel. Par contre le patron secondaire de la ville de Miramichi était bien saint Patrick.
Je m'excuse de cette monumentale erreur!
Jonathan Sonier
Je m'excuse de cette monumentale erreur!
Jonathan Sonier
19 mars: Saint Joseph, patron du Canada
Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi Marie, ton épouse : l'enfant qui est engendré en elle vient de l'Esprit Saint... Mt 1, 20
En ce temps où avoir la foi devient de plus en plus difficle dans un monde qui se sécularise rapidement, l'Église nous propose d'approfondir la figure de saint Joseph, époux de Marie, la mère de notre Sauveur.
J'entends souvent dire que pour un croyant zélé et fervent, il est anormal de douter de sa foi. Au contraire, je dis que le doute est bien plus que normal, il est même plutôt nécessaire. En effet, c'est lui qui contribue le plus à fortifier la foi du croyant, à lui donner des assises solides. Ce que je trouve anormal, c'est un baptisé chrétien, pourtant fort pratiquant, inébranlable dans ses convictions religieuses, qui doute et finit par tomber dans le reniement de sa foi.
Tout comme Joseph, nous sommes appelés à croire et à accepter l'annonce de Dieu aveuglément. C'est sûr que cela peut nous faire peur. Mais qu'on le veuille ou non, on n'aura jamais de réponse ou de preuve toute faite. La Vérité ne sera jamais dévoilé en son entier, du moins sur cette terre, en cette vie. Ce que l'ange dit à Joseph, c'est de faire confiance. Et Joseph revient sur sa décision de renoncer à Marie et la prend chez lui. Mais il a dû faire un long discernement avant d'en arriver là.
Pourquoi moi? Dieu nous invite à chaque jour à ce questionnement. Et quand on doute, il envoie vers nous une aide qui nous rassure et nous invite à la confiance. "Ne crains pas!" C'est une parole qu'on entend souvent dans les Évangiles. Par exemple, le jour où Jésus marchait sur l'eau, ses disciples furent pris d'effroi en le voyant. Pourtant, il leur dit tout simplement: "Ne craignez pas, c'est moi!" Dieu nous promet et Dieu tient ses promesses. C'est ce que l'ange rappelle à Joseph. "Ne crains pas prendre chez toi Marie, car l'enfant qui est en elle vient de l'Esprit Saint. Il sera grand en Israël..." Il lui rappelle que, par Marie, c'est la promesse de Dieu depuis des siècles qu'il enverrait sur la terre un Rédempteur qui s'accomplit.
Le mot que je considère capital pour notre foi, c'est CROIRE. Croire en la promesse du Père. Croire qu'il nous a aimé, qu'il nous aime et qu'il nous aimera. C'est cela l'annonce que l'ange fait à Joseph. Et celui-ci a cru. Il prit chez lui Marie, éleva Jésus comme son propre fils et s'abandonna totalement à la promesse du Père.
Ne craignons pas de prendre chez nous Marie, car son enfant est le Fils Unique, notre Sauveur. Laissons Dieu entrer dans nos vies pour qu'il parle à notre coeur. Comme Joseph, ayons confiance et croyons tout simplement.
En ce temps où avoir la foi devient de plus en plus difficle dans un monde qui se sécularise rapidement, l'Église nous propose d'approfondir la figure de saint Joseph, époux de Marie, la mère de notre Sauveur.
J'entends souvent dire que pour un croyant zélé et fervent, il est anormal de douter de sa foi. Au contraire, je dis que le doute est bien plus que normal, il est même plutôt nécessaire. En effet, c'est lui qui contribue le plus à fortifier la foi du croyant, à lui donner des assises solides. Ce que je trouve anormal, c'est un baptisé chrétien, pourtant fort pratiquant, inébranlable dans ses convictions religieuses, qui doute et finit par tomber dans le reniement de sa foi.
Tout comme Joseph, nous sommes appelés à croire et à accepter l'annonce de Dieu aveuglément. C'est sûr que cela peut nous faire peur. Mais qu'on le veuille ou non, on n'aura jamais de réponse ou de preuve toute faite. La Vérité ne sera jamais dévoilé en son entier, du moins sur cette terre, en cette vie. Ce que l'ange dit à Joseph, c'est de faire confiance. Et Joseph revient sur sa décision de renoncer à Marie et la prend chez lui. Mais il a dû faire un long discernement avant d'en arriver là.
Pourquoi moi? Dieu nous invite à chaque jour à ce questionnement. Et quand on doute, il envoie vers nous une aide qui nous rassure et nous invite à la confiance. "Ne crains pas!" C'est une parole qu'on entend souvent dans les Évangiles. Par exemple, le jour où Jésus marchait sur l'eau, ses disciples furent pris d'effroi en le voyant. Pourtant, il leur dit tout simplement: "Ne craignez pas, c'est moi!" Dieu nous promet et Dieu tient ses promesses. C'est ce que l'ange rappelle à Joseph. "Ne crains pas prendre chez toi Marie, car l'enfant qui est en elle vient de l'Esprit Saint. Il sera grand en Israël..." Il lui rappelle que, par Marie, c'est la promesse de Dieu depuis des siècles qu'il enverrait sur la terre un Rédempteur qui s'accomplit.
Le mot que je considère capital pour notre foi, c'est CROIRE. Croire en la promesse du Père. Croire qu'il nous a aimé, qu'il nous aime et qu'il nous aimera. C'est cela l'annonce que l'ange fait à Joseph. Et celui-ci a cru. Il prit chez lui Marie, éleva Jésus comme son propre fils et s'abandonna totalement à la promesse du Père.
Ne craignons pas de prendre chez nous Marie, car son enfant est le Fils Unique, notre Sauveur. Laissons Dieu entrer dans nos vies pour qu'il parle à notre coeur. Comme Joseph, ayons confiance et croyons tout simplement.
Joseph, symbole de foi et d'abandon à Dieu, nous te prions. Pose un regard de tendresse et d'amour sur nous. Incite-nous à croire comme tu as cru en la promesse du Père. Sois pour nous un modèle de confiance.
Amen.
J.S.
samedi 17 mars 2012
Saint Patrick, patron des Irlandais du monde entier
QUI EST SAINT PATRICK?
Patrick d'Irlande est considéré depuis sa canonisation comme le saint patron des Irlandais. Son vrai nom : Maewin Succat. Il serait né en Bretagne vers la fin du IVe siècle de notre ère. Il fait l'objet d'une légende par laquelle il se serait fait enlevé par des pirates irlandais qui l'auraient vendu comme esclave. Il fut dans cette condition pendant six ans. C'est pendant ce temps qu'il se convertit à la suite d'une rencontre personnelle avec Dieu. Il est devenu prêtre après s'être enfui de l'Irlande vers 411. Dans la trentaine, il retrouve sa famille. Une nuit, il est pris par des visions. Il entend des voix le supplier d'aller les évangéliser. Il s'engage alors à faire des études plus pousser en théologie pendant deux années. Il est alors nommé diacre puis évêque. C'est lors de son ordination comme évêque qu'il prend le nom de Patricius, ou Patrice, ou encore Patrick.
C'est en 432 qu'il entreprend son périple d'évangélisation en terre d'Irlande. Réputé pour son courage, son humilité et sa grande bonté, il fonde plusieurs églises, monastères et écoles. Il fut aussi l'instigateur du trèfle comme symbole de l'Irlande par une prédication dans laquelle il parlait de la Sainte Trinité. Il avait utilisé le trèfle pour en faire la démonstration. Dans la légende, on dit que Patrick aurait fait fuire tout les serpents, symbole du démon depuis les origines, du pays, signe de la conversion des Irlandais.
À sa mort, en 461, il laisse en héritage une Irlande complètement christianisée, sans pour autant compter aucun martyr, d'innombrable monastères et la fondation du diocèse d'Armagh en 445. Par contre, il laisse peu d'écrits: une Confession de saint Patrick, des Lettres à Coroticus et le Canon de saint Patrick ou Le Cri du daim.
Il fut confirmé comme patron de l'Irlande et des ingénieurs en 1962 et comme patron du diocèse de Boston en 1994 par Jean-Paul II. Au Nouveau-Brunswick, la ville de Miramichi, autrefois Chatham et Newcastle, a été déclaré capitale nationale des Irlandais.
N.B. Ne pas confondre avec Patrick de Brousse, Patrick de Saint-Sabas, Patrick O'Healy et Patrick Salmon qui ont tous été canonisés sous le nom de saint Patrick!
Patrick d'Irlande est considéré depuis sa canonisation comme le saint patron des Irlandais. Son vrai nom : Maewin Succat. Il serait né en Bretagne vers la fin du IVe siècle de notre ère. Il fait l'objet d'une légende par laquelle il se serait fait enlevé par des pirates irlandais qui l'auraient vendu comme esclave. Il fut dans cette condition pendant six ans. C'est pendant ce temps qu'il se convertit à la suite d'une rencontre personnelle avec Dieu. Il est devenu prêtre après s'être enfui de l'Irlande vers 411. Dans la trentaine, il retrouve sa famille. Une nuit, il est pris par des visions. Il entend des voix le supplier d'aller les évangéliser. Il s'engage alors à faire des études plus pousser en théologie pendant deux années. Il est alors nommé diacre puis évêque. C'est lors de son ordination comme évêque qu'il prend le nom de Patricius, ou Patrice, ou encore Patrick.
C'est en 432 qu'il entreprend son périple d'évangélisation en terre d'Irlande. Réputé pour son courage, son humilité et sa grande bonté, il fonde plusieurs églises, monastères et écoles. Il fut aussi l'instigateur du trèfle comme symbole de l'Irlande par une prédication dans laquelle il parlait de la Sainte Trinité. Il avait utilisé le trèfle pour en faire la démonstration. Dans la légende, on dit que Patrick aurait fait fuire tout les serpents, symbole du démon depuis les origines, du pays, signe de la conversion des Irlandais.
À sa mort, en 461, il laisse en héritage une Irlande complètement christianisée, sans pour autant compter aucun martyr, d'innombrable monastères et la fondation du diocèse d'Armagh en 445. Par contre, il laisse peu d'écrits: une Confession de saint Patrick, des Lettres à Coroticus et le Canon de saint Patrick ou Le Cri du daim.
Il fut confirmé comme patron de l'Irlande et des ingénieurs en 1962 et comme patron du diocèse de Boston en 1994 par Jean-Paul II. Au Nouveau-Brunswick, la ville de Miramichi, autrefois Chatham et Newcastle, a été déclaré capitale nationale des Irlandais.
N.B. Ne pas confondre avec Patrick de Brousse, Patrick de Saint-Sabas, Patrick O'Healy et Patrick Salmon qui ont tous été canonisés sous le nom de saint Patrick!
LES ORIGINES DE LA FÊTE
Avant d'être une fête nationale, la fête de saint Patrick, qui a la particularité d'être toujours célébrée pendant le Carême, est d'abord une célébration religieuse, faisant honneur du travail d'évangélisation que le saint patron d'Irlande a accompli sans créé de martyr. Depuis, les hommes irlandais portent à leur boutonnière le 17 mars de chaque année un trèfle à trois feuilles, devenu le symbole religieux du pays, bien que l'emblème national demeure la harpe celtique.
Certains chrétiens vont prendre la décision, malgré le Carême qui demande le jeûne, de briser ce jeûne comme on le fait pendant les jours de solennité. Les deux célébrations qui rassemblent le plus d'Irlandais et de non-Irlandais le jour de la fête patronnale sont sans doute le festival de la Saint-Patrick à Dublin et la parade de New York.
Le jour de la fête, il est de tradition que tous portent au moins un vêtement arborant du vert. On assiste à des parades et à de grandes réjouissances autour de boissons irlandaises, en particulier la bière qui existe sous plusieurs variétés de confection irlandaise.
Voilà ce qui complète mon bref article sur saint Patrick. J'espère qu'il vous aura plu et appris des choses sur ce saint patron très populaire. Je tiens à préciser que toute l'information dont je me suis servi pour bâtir cet article provient du site Wikipédia. Ce n'est qu'un résumé. Il y a des notions dont j'ai jugé non-pertinentes. Si cela vous intéresse, vous pouvez aller vous y renseigner!
Sur ce, je souhaite une joyeuse fête de saint Patrick à tous les Irlandais et non-Irlandais, à ceux qui porte le prénom de Patrick, Patrice, Patricia et autres dérivés du nom de Patrick.
Saint Patrick, priez pour nous!
J.S.
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